C'est un commencement qui s'écrit dans ces mots
Miroir de tous nos temps, l’accomplissement veille,
Quand je t'ai vu dehors, j'ai pensé à ta peau,
Je ne saurai dire si ma vue est bien vieille
Au cœur de tous chaos, tu es la lumière,
La perle de mes sens qui m'envoute et me guide
A travers l'écume d'une mère appauvrie
Un enfant torturé, la sirène et un cri
J'ai franchement aimé quand tu m'as dit « je t'aime »
La sensation d'un viens, un-murmure-une-veine
J'ai pas tout apprécié quand tu m'as dit « je saigne »,
C'était comme un venin j'ai crû mourir certaine
A devenir folle comme au sein d'un harem,
Je lève mes armées contre toutes les haines,
Tellement de nos pleurs sur le dos du chemin
Tu sais quoi donc demain : ta pureté est telle !!
J'ai rien compris amour, tu ne m'as pas déçu,
Je dessine cet humour d'une vie qui m'a plu,
Éclaté au grand jour, je désire vertu,
Je désire vertu d'être à toi pour toujours.
C'est un commencement qui s'écrit dans ces sons,
T'entendre me parler, n'imaginer ces sots
Qui croivent toi t'aimer un battement de l'eau,
Tu voyage devant, on iras jusqu'au fond.
Tu es là mon chemin
Tu es là mon lointain
On voyage demain
On arrive hier
On décidera après.
Combien de nos maux.
Tomberont à l'eau.
Deviendrons mots.